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Parce que ce premier texte était une préparation pour une table ronde, (dans le cadre de la conférence des aidants familiaux du 21 octobre 2016 à Cognac). Le jour prévu, il n’était pas possible de le lire tel quel car une table ronde suppose des interactions avec les autres intervenants.
Parlant le dernier, j’avais préféré ajuster le temps de parole disponible pour ce dont j’avais proposé de parler : le corps et l’intimité dans le contexte de l’aide à domicile, et en même temps, faire des liens avec ce qui avait été précédemment dit par les autres intervenants.
J’ai donc procédé à une forme d’improvisation prenant l’allure d’une « synthèse » conclusive de la journée comprenant aussi ce que je souhaitais aborder, plus des ouvertures pour de nouveaux développements possibles, en interaction avec les réactions du public.
Chose promise étant chose due, c’est à cet engagement que cette suite doit le jour !
Plusieurs personnes auraient souhaité une lecture publique et commentée du texte proposé initialement. J’aime ce genre de formule : lire quelques phrases et s’arrêter pour échanger avec les personnes présentes. Néanmoins, cela prend beaucoup de temps lorsque les échanges sont bien nourris, ce qui est généralement le cas. Et souvent, si on a vu trop court, on se retrouve en fin de séance sans avoir tout décortiqué ! Cela n’empêche pas chacun de continuer la lecture, mais sans bénéficier de la richesse qu’apporte le groupe engagé dans la réflexion. Il n’y a pas de formule parfaite.
Par contre, il est possible de se servir du support qu’est le forum pour partager en ligne l’évolution de la conversation : elle peut demeurer active sur un temps prolongé, à la condition de l’alimenter. De nouvelles propositions, questions, opinions peuvent librement s’exprimer. C’est le souhait du collectif LE CASA et je m’en félicite.
De mon côté, je vais proposer deux sortes de compléments de textes pour animer les échanges : des textes plutôt adressés aux professionnels et des textes plutôt adressés au bénévoles, aux aidants et au grand public en général. Cependant, par expérience, je sais que tout le monde est en mesure de comprendre ce qui se dit ou ce qui s’écrit. C'est donc plutôt par le type d’informations que mes textes vont se distinguer : pour les professionnels, il est important de se référer à des auteurs, des textes originaux pour mieux se professionnaliser. Ceci étant dit, nous sommes dans un régime de culture ouverte, et chacun peut accéder par Internet à des sources diverses. C’est d’ailleurs ce que je préconise : n’hésitez pas à chercher sur le Net les informations qui vous semblent utiles ou des explications complémentaires si vous pensez qu’elles vous aideront. Si tel est le cas, je compte sur vous pour signaler vos autres sources en postant vos remarques : elles faciliteront le travail de l’ensemble de la communauté qui en sortira enrichie !
Dominique LE DOUJET.
Pour éviter de donner l’impression de tourner en rond, je vous invite à reprendre les choses là où nous les avions laissées lors de la table ronde. Tout particulièrement, à propos des « groupes de parole », dont LE CASA a une longue et précieuse pratique. Nous remonterons ensuite à ce qui fait problème lors de l’aide et de l’accompagnement d’une personne en situation de perte ou de manque d’autonomie. Tout particulièrement, lors de la nécessaire intervention d’aide à la personne pour ses besoins corporels. Le format que nous choisissons va nous permettre de développer les arguments et les différents points de vue.
Voici par conséquent un premier texte destiné aux professionnels et aux responsables associatifs, psychologues, animateurs de groupes.
Le texte suivant sera destiné aux bénévoles.
Mais les deux types de textes sont accessibles à tous.
Un lexique terminologique et des références d'auteurs sont aussi accessibles pour les lecteurs-contributeurs.
Parlant le dernier, j’avais préféré ajuster le temps de parole disponible pour ce dont j’avais proposé de parler : le corps et l’intimité dans le contexte de l’aide à domicile, et en même temps, faire des liens avec ce qui avait été précédemment dit par les autres intervenants.
J’ai donc procédé à une forme d’improvisation prenant l’allure d’une « synthèse » conclusive de la journée comprenant aussi ce que je souhaitais aborder, plus des ouvertures pour de nouveaux développements possibles, en interaction avec les réactions du public.
Chose promise étant chose due, c’est à cet engagement que cette suite doit le jour !
Plusieurs personnes auraient souhaité une lecture publique et commentée du texte proposé initialement. J’aime ce genre de formule : lire quelques phrases et s’arrêter pour échanger avec les personnes présentes. Néanmoins, cela prend beaucoup de temps lorsque les échanges sont bien nourris, ce qui est généralement le cas. Et souvent, si on a vu trop court, on se retrouve en fin de séance sans avoir tout décortiqué ! Cela n’empêche pas chacun de continuer la lecture, mais sans bénéficier de la richesse qu’apporte le groupe engagé dans la réflexion. Il n’y a pas de formule parfaite.
Par contre, il est possible de se servir du support qu’est le forum pour partager en ligne l’évolution de la conversation : elle peut demeurer active sur un temps prolongé, à la condition de l’alimenter. De nouvelles propositions, questions, opinions peuvent librement s’exprimer. C’est le souhait du collectif LE CASA et je m’en félicite.
De mon côté, je vais proposer deux sortes de compléments de textes pour animer les échanges : des textes plutôt adressés aux professionnels et des textes plutôt adressés au bénévoles, aux aidants et au grand public en général. Cependant, par expérience, je sais que tout le monde est en mesure de comprendre ce qui se dit ou ce qui s’écrit. C'est donc plutôt par le type d’informations que mes textes vont se distinguer : pour les professionnels, il est important de se référer à des auteurs, des textes originaux pour mieux se professionnaliser. Ceci étant dit, nous sommes dans un régime de culture ouverte, et chacun peut accéder par Internet à des sources diverses. C’est d’ailleurs ce que je préconise : n’hésitez pas à chercher sur le Net les informations qui vous semblent utiles ou des explications complémentaires si vous pensez qu’elles vous aideront. Si tel est le cas, je compte sur vous pour signaler vos autres sources en postant vos remarques : elles faciliteront le travail de l’ensemble de la communauté qui en sortira enrichie !
Dominique LE DOUJET.
Pour éviter de donner l’impression de tourner en rond, je vous invite à reprendre les choses là où nous les avions laissées lors de la table ronde. Tout particulièrement, à propos des « groupes de parole », dont LE CASA a une longue et précieuse pratique. Nous remonterons ensuite à ce qui fait problème lors de l’aide et de l’accompagnement d’une personne en situation de perte ou de manque d’autonomie. Tout particulièrement, lors de la nécessaire intervention d’aide à la personne pour ses besoins corporels. Le format que nous choisissons va nous permettre de développer les arguments et les différents points de vue.
Voici par conséquent un premier texte destiné aux professionnels et aux responsables associatifs, psychologues, animateurs de groupes.
Le texte suivant sera destiné aux bénévoles.
Mais les deux types de textes sont accessibles à tous.
Un lexique terminologique et des références d'auteurs sont aussi accessibles pour les lecteurs-contributeurs.
